Lorsque le jour se leva le trente décembre mille neuf cents quatre-vingts-six, l'étonnement se propagea rapidement à l'observatoire d' Uccle, au sommet de l'avenue Houzeau (Bruxelles, Belgique). En contemplant le soleil, les assistants de l'éminent astronome Leckmart remarquèrent avec stupéfaction que le soleil avait perdu un de ses rayons.
La nuit du vingt-neuf au trente, une jeune femme de vingt-six ans -qui attendait ce moment avec impatience - entra à l'hôpital Erasme situé à Anderlecht. Elle était accompagnée de l'homme avec qui elle avait passé sept ans de sa vie et avec qui elle passerait encore sept longues années, ponctuées de moments magnifiques et de périodes rudes et douloureuses. Elle avait perdu les eaux. Le travail fut fastidieux et éprouvant, cependant il n'était rien comparé au bonheur engendré par celui-ci. Les premiers mots qui sortirent de sa bouche en regardant le fruit de son labeur furent: "Mon petit rayon de soleil" Et sans raison, parce qu'il était tout simplement là, elle se mit à l'aimer...
Très vite, il attira l'attention de tous. Dès le départ, les médecins avaient bien compris qu'il était pas comme les autres - les centaines d'autres qu'ils avaient mis au monde -, cet enfant n'avait pas daigné arriver parmi nous de façon réglementaire. Son attitude dédaigneuse et contestataire l'avait poussé à contredire la science. Au lieu de montrer sa jolie petite tête blonde à la sortie, il arbora avec fierté son postérieur et fit peu de cas de tous les problèmes que ça pourrait lui engendrer. Avec courage, il retint sa respiration jusqu'à ce que, malgré lui, il avala le liquide amniotique. Cela ne lui donna pas un très beau teint sur le moment-même, mais il s'en fichait pas mal. Il savait que toute la foule autour de lui arrangerait ça.
Après être passé de main en main, il put enfin prendre du repos. Cependant les infirmières ne se lassaient pas de l'admirer: Sa peau douce - ô combien plus douce que celle des autres enfants -, ses cheveux si fins, si beaux, d'une couleur ambrée qui n'avait jamais été vue dans cette section auparavant, ses petites mains et surtout ses yeux... d'un bleu si pur faisaient le ravissement de toutes les femmes en blancs. Novices ou d'âge mures, elles se disputaient pour pouvoir s'en occuper...
Toutes s'extasiant : " Qu'elle est charmante, cette petite fille "
La nuit du vingt-neuf au trente, une jeune femme de vingt-six ans -qui attendait ce moment avec impatience - entra à l'hôpital Erasme situé à Anderlecht. Elle était accompagnée de l'homme avec qui elle avait passé sept ans de sa vie et avec qui elle passerait encore sept longues années, ponctuées de moments magnifiques et de périodes rudes et douloureuses. Elle avait perdu les eaux. Le travail fut fastidieux et éprouvant, cependant il n'était rien comparé au bonheur engendré par celui-ci. Les premiers mots qui sortirent de sa bouche en regardant le fruit de son labeur furent: "Mon petit rayon de soleil" Et sans raison, parce qu'il était tout simplement là, elle se mit à l'aimer...
Très vite, il attira l'attention de tous. Dès le départ, les médecins avaient bien compris qu'il était pas comme les autres - les centaines d'autres qu'ils avaient mis au monde -, cet enfant n'avait pas daigné arriver parmi nous de façon réglementaire. Son attitude dédaigneuse et contestataire l'avait poussé à contredire la science. Au lieu de montrer sa jolie petite tête blonde à la sortie, il arbora avec fierté son postérieur et fit peu de cas de tous les problèmes que ça pourrait lui engendrer. Avec courage, il retint sa respiration jusqu'à ce que, malgré lui, il avala le liquide amniotique. Cela ne lui donna pas un très beau teint sur le moment-même, mais il s'en fichait pas mal. Il savait que toute la foule autour de lui arrangerait ça.
Après être passé de main en main, il put enfin prendre du repos. Cependant les infirmières ne se lassaient pas de l'admirer: Sa peau douce - ô combien plus douce que celle des autres enfants -, ses cheveux si fins, si beaux, d'une couleur ambrée qui n'avait jamais été vue dans cette section auparavant, ses petites mains et surtout ses yeux... d'un bleu si pur faisaient le ravissement de toutes les femmes en blancs. Novices ou d'âge mures, elles se disputaient pour pouvoir s'en occuper...
Toutes s'extasiant : " Qu'elle est charmante, cette petite fille "
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire